Petit dernier d’une famille de sept enfants, j’ai eu la grâce de grandir dans un foyer catholique où j’ai pu recevoir tout ce dont un enfant a besoin pour s’épanouir humainement ou spirituellement.

Bien que j’aie toujours gardé la foi, celle-ci est restée pendant longtemps relativement tiède, et la question de la vocation a fini en quelque sorte par me tomber dessus, peu de temps après l’obtention de mon baccalauréat : c’est lors d’une route d’été que j’ai commencé à ressentir un appel, à éprouver le désir de servir plus parfaitement Dieu.

Après une année d’hypokhâgne (A/L) et un semestre pour le moins peu concluant en fac d’Histoire, je décide finalement de rentrer au séminaire : je perçois avec fascination dans les sacrements, et particulièrement dans la Sacrifice de la Messe, à la fois l’intimité du prêtre avec le Christ, et le pont qu’il constitue entre Dieu et les hommes.

Mon choix c’est porté assez naturellement vers la SMMD, que je connaissais de la paroisse de Strasbourg, pour la profonde cohérence entre ses charismes (Miséricorde, Messe, Mission) et les besoins actuels de la société et de l’Eglise.

PRÊTRES ET FRÈRES POUR ANNONCER LA MISÉRICORDE